
« À l’abordage ! »
Les corsaires de Maurice

« À l’abordage ! »,
les corsaires de
l'île Maurice
Si la Royal Navy chipe Maurice à la France, en 1810, ce n’est pas pour ajouter quelques centaines de kilomètres carrés à son immense empire. C’est plus sûrement pour se débarrasser d’un fléau qui, depuis trop d’années, trouble le sommeil des pontes de l’Amirauté : les corsaires français.
Le 20 septembre 1715, après plus d’un mois de mouillage près des côtes mauriciennes, le capitaine Dufresne d’Arsel prend officiellement possession de l’ancienne colonie néerlandaise au nom de Louis XIV et la rebaptise illico Île de France. Fatalité, le Roi-Soleil a cassé sa pipe trois semaines plus tôt. Qu’importe ! L’île est bel et bien française, même si la France ne sait pas vraiment qu’en faire. Il faut attendre vingt bonnes années avant que ne se dessine finalement une vocation agricole avec, notamment, la culture de la canne à sucre. Une occupation des plus pacifiques qui va ronronner pendant plusieurs décennies, jusqu’à ce qu'en 1779 la France, engagée auprès des Américains dans la guerre d’indépendance que ces derniers mènent contre les Anglais, exporte le conflit dans l’océan Indien en y envoyant des corsaires.
La mission de ces mercenaires de la mer ? Perturber le trafic des marchandises orchestré par la Très Honorable Compagnie des Indes orientales, le fleuron commercial de l’empire d’outre-Manche. Les deux premières années sont terribles pour les Anglais qui perdent plus d’une centaine de navires et leurs cargaisons, la plupart transitant alors par Port-Louis, le grand port mauricien que les héros de la « course » — tel est le nom de cette drôle de guerre navale — ont choisi pour base arrière. Et ce n’est qu’un début !
Le roi de l'île Maurice
Après une trêve de quelques années, les hostilités reprennent en 1793, la Couronne britannique ayant déclaré la guerre à la toute jeune République française. Alors même que l’armement des indiamen, ces énormes navires qui assurent la liaison entre l’Asie et l’Angleterre, est lourdement renforcé, la saignée se poursuit. Les soixante-dix corsaires qui, pendant dix ans, sévissent depuis Port-Louis, s’emparent de plus de deux cents bateaux ennemis. Ils ont pour nom Dufourq, Mariette, Dutertre, Le Joliff ou bien encore Macquet. Mais la postérité n'a retenu qu’un seul de ces patronymes : celui de Robert Surcouf.

Ce Malouin est encore adolescent et simple matelot quand il débarque dans l’océan Indien pour participer à la traite négrière entre le Mozambique et l'archipel des Mascareignes. Un commerce facile et malsain qui ne satisfait pas vraiment ce jeune marin intrépide. Lui, il rêve d'aventure ; il se voit corsaire. Une ambition qu’il entend mener à bien coûte que coûte. Il saisit donc sa chance, en 1795, quand un armateur de Port-Louis lui confie le commandement de l’Émilie, un navire marchand plus que modeste, armé d’une poignée de canons et servi par un maigre équipage. Charge à lui de le mener jusqu’aux Seychelles où il est censé acheter des tortues et du maïs. Mais Surcouf, que l’on imagine volontiers forte tête, ne l’entend pas de cette oreille. Outrepassant son ordre de mission et s’affranchissant de la fameuse « lettre de marque », l’acte officiel par lequel le roi autorise un corsaire à combattre en son nom, il se lance à l’assaut de ses premières prises. Tant pis si ces assauts ressemblent bel et bien à de la piraterie ; l’important est qu’ils sont couronnés de succès. En moins d’un mois, il met la main sur quatre navires. C’est le début d’une incroyable épopée qui lui vaut bientôt le titre de « Roi des Corsaires ».
Un exploit retentissant
Depuis Maurice, son « île de cœur », Robert Surcouf écume l’océan Indien jusqu’en 1801. Il regagne alors la France, mais revient à Port-Louis en 1807 pour près de deux années de course supplémentaires. Au final, en huit ans de navigation et de combats dans l’océan Indien, il triomphe de quarante-quatre navires. Son plus beau coup d’éclat ? La prise du Kent. Nous sommes le 7 octobre 1800 quand ce colosse anglais, fort de 1 200 tonneaux, 40 canons de gros calibre et 450 hommes d’équipage, apparaît dans la longue-vue du Français. Celui-ci n’a que les 400 tonneaux, les 24 canons et les 160 marins de La Confiance, son navire de l’époque, à lui opposer. Il n’en décide pas moins de fondre sur sa proie qu’il rattrape deux heures plus tard. Lui vient alors l'idée de génie qui décide de l’issue de la bataille : il lance l’abordage par l’arrière et s’empare ainsi rapidement de la dunette du Kent où l’état-major adverse, au grand complet, s’est regroupé pour commander les troupes.

Leurs officiers pris au piège, les matelots anglais déposent vite les armes. Il ne faut ainsi à Surcouf que dix petites minutes pour décrocher la victoire. Qui plus est, ses pertes se comptent sur les doigts d’une main. L'exploit forge sa légende, mais, dans le même temps, il blesse tant les Britanniques qu’ils jurent de se venger. Ils ne mettront jamais la main sur le corsaire malouin, mais, en 1810, ils le priveront à jamais de celle qui, sa vie durant, malgré l’exil, restera sa seconde patrie : l’Île de France. Et celle-ci ne l’a pas oublié. Non seulement une plaque commémorative déposée à l’intérieur de La Renommée, la maison de Port-Louis où le marin français avait élu domicile, célèbre sa mémoire, mais l’île lui rend également hommage en exposant quelques reliques de son héros, dont l’une de ses épées, au Musée d’Histoire Nationale de Mahébourg.

Une chasse
au trésor
Avez-vous déjà entendu parler d’Olivier Levasseur ? Jamais ? Peut-être le connaissez-vous sous une autre identité : celle de « La Buse » ? Un surnom emprunté à un rapace, voilà qui sied bien à ce Calaisien d’origine qui a consacré toute sa vie — aussi courte que la corde à laquelle on a pendu le bonhomme — à la piraterie. Une sombre carrière entamée dans les Caraïbes en 1713 quand, à dix-huit ans à peine, engagé sur le Portillon, un navire corsaire français, il se mutine et en prend les commandes sous une bannière qui laisse peu de doute sur ses intentions : noire, avec quatre têtes de mort, deux tibias entrecroisés et des larmes blanches.
Ce drapeau flotte sur l’Atlantique pendant quelques années. Hélas pour le Français, il arrive dans le métier au pire des moments, toutes les grandes puissances navales intensifiant alors leurs efforts pour éradiquer la flibusterie caribéenne. Comme nombre de ses pairs, il décide donc d’aller voir ailleurs si la mer est plus bleue. C’est ainsi qu’en 1719 il entre pour la première fois dans l’océan Indien. Il s’y distingue deux ans plus tard en mettant la main sur le plus incroyable butin de toute l’histoire de la piraterie : celui du Nossa Senhora do Cabo (La Vierge du Cap), le navire amiral de la flotte portugaise.
Celui-ci s’en revient d’Inde avec, à son bord, le comte d’Ericeira, vice-roi des Indes orientales portugaises, et une fortune en or, en perles, en argent et en pierres précieuses. Merveille des merveilles : la crosse d’or de Goa, un objet de culte de plus de deux mètres de hauteur, fait d’une centaine de kilos d’or et constellé de rubis. Victime de nombreuses avaries après une furieuse tempête, le galion fait relâche dans la baie de Saint-Denis, sur l’île Bourbon, l’actuelle Réunion. Or, par un heureux hasard, La Buse et John Taylor, son nouveau complice, y jettent l’ancre à leur tour, quelque temps plus tard. Que pensez-vous qu’il advienne ? Profitant de ce que, pendant les réparations, une grande partie de l’équipage portugais reste à terre, Levasseur et ses hommes se lancent à l’abordage de La Vierge du Cap et, une fois qu’ils en ont pris le contrôle, la remorque vers des eaux plus tranquilles pour se partager sa cargaison mirifique.
La suite ? Après quelques mois de mer, La Buse, sans doute rassasié de richesses, rejoint Madagascar où il a ses habitudes et prend alors ses distances d'avec ses amis pirates. Malheureusement pour lui, sa tête est mise à prix et, en 1729, alors qu’il se pense oublié, un capitaine français le reconnaît, lui met la main dessus et le ramène enchaîné sur l’île Bourbon. Il y est jugé en juillet 1730 et exécuté, non sans avoir suspendu un bref instant le bras du bourreau pour une ultime bravade qui va définitivement asseoir sa légende : il jette à la foule un parchemin sur lequel il a rédigé un message codé permettant de retrouver la planque du trésor de La Vierge du Cap.
Selon la tradition, juste avant qu’on ne lui passe la corde au cou, il aurait ajouté ces derniers mots : « mon trésor à qui saura le prendre ». Depuis, beaucoup s’y sont employés, appâtés par sa valeur : elle est actuellement estimée à quatre ou cinq milliards d'euros. Mais aucun n’a réussi, butant invariablement sur le cryptogramme alambiqué de Levasseur. Sauf qu’en 2024 sept randonneurs mauriciens, en balade sur la plage d’Albion, remarquent de curieuses inscriptions sur les rochers. Elles ne sont pas sans similitudes avec celles du parchemin du pirate. Une découverte jugée suffisamment sérieuse pour que les autorités mauriciennes installent un périmètre de sécurité sur la zone et y dépêchent une équipe d’archéologues professionnels. Dans le même temps, les spéculations sur la localisation du butin de La Buse s’en trouvent relancées : on l’a imaginé enterré à Madagascar ou à La Réunion, le grand-père de Jean-Marie Le Clézio, l’un de nos prix Nobel de littérature, l’a cherché pendant vingt ans à Rodrigues, et voilà qu’il pourrait se cacher à Maurice. Ce qui n’est pas sans nous donner une riche idée pour vos prochaines vacances en famille : une chasse au trésor sous les tropiques !

Maman, les p'tits bateaux...
L’histoire raconte qu’à la fin des années soixante, Raphaël Touzé, ambassadeur de France à Maurice, se met en tête de décorer l’ambassade avec la maquette d’un ancien voilier dont il a trouvé les plans. Il finit par dénicher l’artisan idoine en la personne de José Ramar. Un excellent choix, cet ébéniste de Curepipe signant un modèle réduit en tout point fidèle à l’original. Un travail qui force l’admiration de tous. Ce qui donne une idée à son auteur : se spécialiser dans cette activité. C’est ainsi que naît Camajora, le premier atelier artisanal de maquettes navales de l’île Maurice. Mais pas le dernier !
Cinquante ans plus tard, les maquettes de bateaux made in Mauritius font référence et de nombreux ateliers, rivalisant de talent et de précision, expédient leur production aux quatre coins du monde. Aujourd’hui encore, chaque exemplaire est réalisé selon les plans originaux et fabriqué à la main, le plus souvent par un seul et même maquettiste qui travaille tout aussi bien le tek, le palissandre ou l’acajou pour la coque que le laiton pour les canons et la feuille d’or pour certains ornements. Pour les vieux gréements, il passe néanmoins le relais à une couturière qui, de ses doigts d’or, hisse les voiles et tend les minuscules filins et haubans.
Les maquettistes mauriciens jouissent d’une telle réputation que de nombreux musées et collectionneurs leur passent régulièrement commande pour des pièces pouvant coûter plus d’une dizaine de milliers d’euros. Rassurez-vous, on trouve aussi des modèles bien plus abordables, proposés à partir de quelques centaines d’euros. On s’en revient ainsi de son périple mauricien avec, dans l’avion, un bateau : un Riva rutilant, La Confiance de Surcouf, le Titanic avant son naufrage, la Santa-Maria de Christophe Colomb, le Bounty de Fletcher Christian ou bien encore l’impressionnant Soleil-Royal, fierté de Louis XIV.
Si la Royal Navy chipe Maurice à la France, en 1810, ce n’est pas pour ajouter quelques centaines de kilomètres carrés à son immense empire. C’est plus sûrement pour se débarrasser d’un fléau qui, depuis trop d’années, trouble le sommeil des pontes de l’Amirauté : les corsaires français.
Le 20 septembre 1715, après plus d’un mois de mouillage près des côtes mauriciennes, le capitaine Dufresne d’Arsel prend officiellement possession de l’ancienne colonie néerlandaise au nom de Louis XIV et la rebaptise illico Île de France. Fatalité, le Roi-Soleil a cassé sa pipe trois semaines plus tôt. Qu’importe ! L’île est bel et bien française, même si la France ne sait pas vraiment qu’en faire. Il faut attendre vingt bonnes années avant que ne se dessine finalement une vocation agricole avec, notamment, la culture de la canne à sucre. Une occupation des plus pacifiques qui va ronronner pendant plusieurs décennies, jusqu’à ce qu'en 1779 la France, engagée auprès des Américains dans la guerre d’indépendance que ces derniers mènent contre les Anglais, exporte le conflit dans l’océan Indien en y envoyant des corsaires.
La mission de ces mercenaires de la mer ? Perturber le trafic des marchandises orchestré par la Très Honorable Compagnie des Indes orientales, le fleuron commercial de l’empire d’outre-Manche. Les deux premières années sont terribles pour les Anglais qui perdent plus d’une centaine de navires et leurs cargaisons, la plupart transitant alors par Port-Louis, le grand port mauricien que les héros de la « course » — tel est le nom de cette drôle de guerre navale — ont choisi pour base arrière. Et ce n’est qu’un début !
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Après une trêve de quelques années, les hostilités reprennent en 1793, la Couronne britannique ayant déclaré la guerre à la toute jeune République française. Alors même que l’armement des indiamen, ces énormes navires qui assurent la liaison entre l’Asie et l’Angleterre, est lourdement renforcé, la saignée se poursuit. Les soixante-dix corsaires qui, pendant dix ans, sévissent depuis Port-Louis, s’emparent de plus de deux cents bateaux ennemis. Ils ont pour nom Dufourq, Mariette, Dutertre, Le Joliff ou bien encore Macquet. Mais la postérité n'a retenu qu’un seul de ces patronymes : celui de Robert Surcouf.

Ce Malouin est encore adolescent et simple matelot quand il débarque dans l’océan Indien pour participer à la traite négrière entre le Mozambique et l'archipel des Mascareignes. Un commerce facile et malsain qui ne satisfait pas vraiment ce jeune marin intrépide. Lui, il rêve d'aventure ; il se voit corsaire. Une ambition qu’il entend mener à bien coûte que coûte. Il saisit donc sa chance, en 1795, quand un armateur de Port-Louis lui confie le commandement de l’Émilie, un navire marchand plus que modeste, armé d’une poignée de canons et servi par un maigre équipage. Charge à lui de le mener jusqu’aux Seychelles où il est censé acheter des tortues et du maïs. Mais Surcouf, que l’on imagine volontiers forte tête, ne l’entend pas de cette oreille. Outrepassant son ordre de mission et s’affranchissant de la fameuse « lettre de marque », l’acte officiel par lequel le roi autorise un corsaire à combattre en son nom, il se lance à l’assaut de ses premières prises. Tant pis si ces assauts ressemblent bel et bien à de la piraterie ; l’important est qu’ils sont couronnés de succès. En moins d’un mois, il met la main sur quatre navires. C’est le début d’une incroyable épopée qui lui vaut bientôt le titre de « Roi des Corsaires ».
Un exploit retentissant
Depuis Maurice, son « île de cœur », Robert Surcouf écume l’océan Indien jusqu’en 1801. Il regagne alors la France, mais revient à Port-Louis en 1807 pour près de deux années de course supplémentaires. Au final, en huit ans de navigation et de combats dans l’océan Indien, il triomphe de quarante-quatre navires. Son plus beau coup d’éclat ? La prise du Kent. Nous sommes le 7 octobre 1800 quand ce colosse anglais, fort de 1 200 tonneaux, 40 canons de gros calibre et 450 hommes d’équipage, apparaît dans la longue-vue du Français. Celui-ci n’a que les 400 tonneaux, les 24 canons et les 160 marins de La Confiance, son navire de l’époque, à lui opposer. Il n’en décide pas moins de fondre sur sa proie qu’il rattrape deux heures plus tard. Lui vient alors l'idée de génie qui décide de l’issue de la bataille : il lance l’abordage par l’arrière et s’empare ainsi rapidement de la dunette du Kent où l’état-major adverse, au grand complet, s’est regroupé pour commander les troupes.

Leurs officiers pris au piège, les matelots anglais déposent vite les armes. Il ne faut ainsi à Surcouf que dix petites minutes pour décrocher la victoire. Qui plus est, ses pertes se comptent sur les doigts d’une main. L'exploit forge sa légende, mais, dans le même temps, il blesse tant les Britanniques qu’ils jurent de se venger. Ils ne mettront jamais la main sur le corsaire malouin, mais, en 1810, ils le priveront à jamais de celle qui, sa vie durant, malgré l’exil, restera sa seconde patrie : l’Île de France. Et celle-ci ne l’a pas oublié. Non seulement une plaque commémorative déposée à l’intérieur de La Renommée, la maison de Port-Louis où le marin français avait élu domicile, célèbre sa mémoire, mais l’île lui rend également hommage en exposant quelques reliques de son héros, dont l’une de ses épées, au Musée d’Histoire Nationale de Mahébourg.

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