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Le vin du large
© Adobe Stock/travelpeter

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Le vin du large
Introduite par les Étrusques, la vigne a occupé une place importante dans la vie elboise. Il y a un siècle encore, elle recouvrait pas moins de 15 % de la superficie totale de l’île. Cette vocation vinicole est nettement moins marquée aujourd’hui. Avec le développement du tourisme, le vin n’est plus une ressource économique essentielle pour les îliens. Elle reste néanmoins l’une de leurs principales richesses culturelles. D’autant que les vignerons du cru perpétuent un savoir-faire ancestral : celui de l’aleatico passito.
Si Napoléon était resté sagement à Elbe, il aurait enfin fait taire ses canons pour remplir ceux des autres. Le Corse a en effet nourri très sérieusement des ambitions vigneronnes lors de son bref passage sur l’île. Une passion qui lui est venue dès son arrivée sur place. Nous sommes le 4 mai… L’Empereur est encore à bord du HMS Undaunted, la frégate anglaise qui l’a conduit jusqu’à son nouveau royaume. Il attend l’heure d’un débarquement officiel qu’il espère triomphal. Observant la côte à l’aide de sa lunette, il aperçoit au beau milieu de la garrigue, entouré de vieux murs de pierres sèches, le plus charmant des vignobles. Intrigué, il fait armer une chaloupe et part à la rencontre du maître des lieux. Et voilà comment Pellegrino Senno, le propriétaire de la Tenuta La Chiusa, un domaine fondé à la fin du XVIe siècle (et qui existe toujours), a l’insigne honneur d’être le premier îlien à accueillir l’Aigle sur son sol. Il lui fait découvrir à cette occasion une spécialité locale : l’aleatico, un vin rouge sucré. Une révélation !
L'empereur vigneron
Dès le début de son règne sur sa petite principauté, considérant que ses sujets « sont forts et en bonne santé, car les vins de leur île leur donnent force et bonne santé », Napoléon se met en tête de développer et d’améliorer la viticulture insulaire. Pour donner l’exemple, il n’hésite pas à planter ses propres vignes sur les terres de la Villa San Martino. Il va même jusqu’à choisir les noms, inspirés par la géographie locale, et dessiner les étiquettes de ses deux premiers nectars : Côte de Rio pour le vin rouge et Monte Giove pour le blanc. Son retour en France et la défaite de Waterloo ont eu raison de ce projet. Il n’en reste pas moins qu’en matière d’œnologie comme dans bien d’autres domaines, l’Aigle s’est montré visionnaire.
À LIRE AUSSI :
Aujourd’hui, encadré par les règles strictes des appellations d’origine (Denominazione di Origine Controllata et Denominazione di Origine Controllata e Garantita selon la nomenclature italienne), le vignoble insulaire brille plus que jamais par la qualité et la typicité de ses crus. Il faut dire que la vigne a trouvé sur l’île des conditions de culture idéales. Elle y profite notamment d’un ensoleillement remarquable et d’un sol drainant, acide et riche en minéraux (fer, silice, micas, quartz) qui favorise la concentration et le caractère original des arômes du raisin. Et puis, surtout, elle bénéficie grandement de la proximité de la mer. Celle-ci est en effet à l’origine des brises fraîches, légères et chargées d’un rien d’humidité qui, à l’aube comme au crépuscule, soufflent dans les rangs, protégeant ainsi les grappes des maladies et leur assurant un précieux répit lors des fortes chaleurs estivales. Le mûrissement des baies n’en est que plus régulier et l’équilibre entre le sucre, précurseur de l’alcool, et les arômes s’en ressent.
Une terre de blancs
La nature peut beaucoup, mais elle ne peut pas tout. Il lui faut le travail et le talent des hommes pour changer ses fruits en un bon vin. Or, les Elbois ne sont pas avares de leur peine et jouissent d’un savoir-faire singulier, forgé dès l’Antiquité comme l’atteste Pline l’Ancien qui, dans son Histoire naturelle, qualifia celle que ses contemporains nommaient Ilva d'insula vini ferax, « une île abondante en vins ». Résultat : à partir des années soixante-dix, après un long déclin amorcé au début du XXe siècle, la viticulture locale a retrouvé tout son lustre et une petite vingtaine de domaines, forts d’un total de 350 hectares de vignes, régalent les insulaires et leurs hôtes d’une belle palette de saveurs.
Estampillés DOC Elba depuis 1967, les blancs font la part belle au trebbiano que les locaux appellent procanico. C’est l’ugni blanc des vignerons provençaux et charentais. Il est connu pour donner des vins vifs, mais simples. Les insulaires se sont donc ouverts depuis longtemps à d’autres variétés pour apporter plus de complexité à leurs cuvées traditionnelles par le jeu des assemblages. Deux d’entre elles, l’ansonica et le vermentino, sont même travaillées en vins monocépages, non sans réussite puisque, depuis quelques années déjà, ces derniers bénéficient eux aussi d’une appellation d’origine contrôlée.

Avec ses belles notes de fruits exotiques, le vermentino s'est imposé parmi les cépages référents du vignoble elbois. La DOC Elba vermentino en témoigne.
Un bijou couleur rubis
Si la cuisine locale, principalement tournée vers les produits de la mer, pousse fortement à la consommation de vins blancs, les rouges n’en sont pas pour autant délaissés. Ils pèsent pas loin de la moitié de la production insulaire. Pour l’essentiel, ils sont issus du sangiovese, le cépage toscan par excellence. Mais les Elbois ont su également préserver la culture ancestrale d’un autre cépage, aussi rare qu’atypique, celui-là même qui a charmé le palais napoléonien : l’aleatico. Des études ADN ont montré qu’il est un descendant du muscat blanc à petits grains. Une filiation qui se retrouve en bouche avec des arômes floraux et fruités tout à la fois suaves et intenses. Ceux-là s’expriment d’autant mieux que les Elbani tirent la quintessence de leurs raisins grâce à une méthode de vinification qui leur est chère : l’appassimento.

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Apparenté au passerillage qui fait la spécificité des vins de paille du Jura, l’appassimento repose sur deux exigences : une vendange à pleine maturité et un séchage naturel des baies pour concentrer encore davantage le sucre et les arômes ! Les raisins passent ainsi trois à quatre semaines à l’air libre, étalés sur des claies ou des filets soigneusement disposés pour que le baiser du soleil ne se change pas en morsure. Une fois pressés, les grains qui ont perdu jusqu’à 60 % de leurs poids, libèrent un jus épais que le vigneron, au terme d’un processus complexe et rigoureux, conclu parfois par un passage en barrique de un à deux ans, transforme en un vin doux naturel qui rivalisent allègrement avec les meilleurs portos ou madères. Titrant autour des 16°, plaisant à l’œil avec sa robe rubis, tirant parfois au violet, l’aleatico dell’Elba passito DOCG fleure bon les fruits rouges confiturés, la figue et les épices. Malgré la présence du sucre résiduel, il s’avère raffiné au palais, accompagnant ainsi de la plus belle des manières un fromage bleu, un chocolat noir, un clafoutis ou… un moment de paix et de partage.
Nesos, le vin
de Neptune
S’il est un qualificatif qui sied à Antonio Arrighi, c’est assurément « curieux ». Depuis plus de trente ans, le propriétaire de l’Azienda Agricola Arrighi, sise à Porto Azzurro, multiplie les expériences œnologiques. En collaboration avec un centre de recherche toscan, il a introduit sur son île les premiers plans de viognier, de chardonnay, de manzoni ou encore de syrah. Puis, il a été le premier Elbois à utiliser des amphores de terre cuite produites à Impruneta, près de Florence, pour micro-oxygéner en douceur deux de ses cuvées : Tresse, en rouge et Hermia, en blanc. Il a ressuscité le vin mousseux d’Elbe avec sa cuvée Isula et fabriqué Ace di Ale, le premier vinaigre issu de l’aleatico. Mais sa plus belle aventure reste assurément la création de Nesos, un vin né de la rencontre insolite entre la terre et la mer.
L’idée lui en est venue en écoutant Attilio Scienza, professeur de viticulture à l'Université de Milan, parler du vin de Chios, la Romanée-Conti du monde antique. Ce nectar divin que Varron, l’écrivain romain, appelait « le vin des riches » et que César lui-même fit servir lors de son banquet le plus mémorable, était le fruit d’un secret bien gardé qui le rendait incomparablement meilleur que tous les autres breuvages de l’époque : les vignerons de l’île grecque, berceau du grand Homère, abandonnaient leur vendange à la mer pendant quelques jours avant de la vinifier. Le sel, on le sait, est un exhausteur de goût et il est facile d’imaginer que l'iode marin flattait les arômes du vin égéen.
Fascinés par cette histoire, Antonio et Giulia, sa fille, qui mène le domaine à ses côtés, s’associent au professeur milanais pour lancer une expérimentation grandeur nature. L’initiative est d’autant plus pertinente que la famille Arrighi dispose du savoir-faire adéquat. Comme les Grecs d’il y a deux mille cinq cents ans, elle maîtrise l'art du passerillage, le séchage naturel des baies avant leur pressurage, et de l’élevage en amphore. En plus de ça, les Arrighi cultivent l’ansonica, un cépage tout indiqué pour leur voyage dans le temps. Sa peau épaisse autorise en effet un séjour prolongée dans l’eau. Et puis, il y a ses origines : il est le fruit d’un croisement entre deux variétés typiques de la… mer Égée !
Forte de ce formidable potentiel, la petite équipe se met au travail et lance les grandes manœuvres dès la vendange 2018. Sitôt cueillies, des dizaines de kilos de raisins viennent garnir de grandes nasses en osier que l’on immerge près de la côte elboise, à une petite dizaine de mètres de profondeur. Elles y restent moins d’une semaine, un délai suffisant pour que la mer fasse son œuvre. Pour commencer, celle-ci élimine naturellement la pruine, cette fine pellicule cireuse présente à la surface de la peau. Ce qui présente deux avantages : d'une part, supprimer les levures endogènes qui pourraient influencer le processus de fermentation, et, d’autre part, optimiser le potentiel aromatique des raisins en réduisant la durée du passerillage. Ensuite, ce bain amoindrit la résistance de la peau, l’extraction des phénols, ces molécules responsables du goût et de la structure du vin, s’en trouvant ainsi grandement améliorée. L'analyse de Nesos montre d’ailleurs qu'il contient deux fois plus de phénols que son équivalent « terrestre ». Enfin, les propriétés antioxydantes et antiseptiques du sel marin présent dans le jus de presse évitent le sulfitage pendant toute la vinification.
Dernière ligne droite : le vin et le marc de raisin passent six mois en amphore. Une fois filtré et mis en bouteille, le nectar observe un an de repos supplémentaire dans le chai des Arrighi. Au printemps 2020, les quarante premières bouteilles de Nesos sont fin prêtes. Dans le verre des premiers dégustateurs, un vin unique au monde, à la robe dorée et lumineuse. Son nez est tout d’abord miellé et fleuri, puis libère des notes d’agrumes, de mélisse et de gingembre. La bouche est douce, riche, vive et iodée, avec une longue et belle finale. Une merveille qui réclame sa petite bourriche de Fines de Claires pour un accord mets-vin... homérique.
Introduite par les Étrusques, la vigne a occupé une place importante dans la vie elboise. Il y a un siècle encore, elle recouvrait pas moins de 15 % de la superficie totale de l’île. Cette vocation vinicole est nettement moins marquée aujourd’hui. Avec le développement du tourisme, le vin n’est plus une ressource économique essentielle pour les îliens. Elle reste néanmoins l’une de leurs principales richesses culturelles. D’autant que les vignerons du cru perpétuent un savoir-faire ancestral : celui de l’aleatico passito.
Si Napoléon était resté sagement à Elbe, il aurait enfin fait taire ses canons pour remplir ceux des autres. Le Corse a en effet nourri très sérieusement des ambitions vigneronnes lors de son bref passage sur l’île. Une passion qui lui est venue dès son arrivée sur place. Nous sommes le 4 mai… L’Empereur est encore à bord du HMS Undaunted, la frégate anglaise qui l’a conduit jusqu’à son nouveau royaume. Il attend l’heure d’un débarquement officiel qu’il espère triomphal. Observant la côte à l’aide de sa lunette, il aperçoit au beau milieu de la garrigue, entouré de vieux murs de pierres sèches, le plus charmant des vignobles. Intrigué, il fait armer une chaloupe et part à la rencontre du maître des lieux. Et voilà comment Pellegrino Senno, le propriétaire de la Tenuta La Chiusa, un domaine fondé à la fin du XVIe siècle (et qui existe toujours !), a l’insigne honneur d’être le premier îlien à accueillir l’Aigle sur son sol. Il lui fait découvrir à cette occasion une spécialité locale : l’aleatico, un vin rouge sucré. Une révélation !
L'empereur vigneron
Dès le début de son règne sur sa petite principauté, considérant que ses sujets « sont forts et en bonne santé, car les vins de leur île leur donnent force et bonne santé », Napoléon se met en tête de développer et d’améliorer la viticulture insulaire. Pour donner l’exemple, il n’hésite pas à planter ses propres vignes sur les terres de la Villa San Martino. Il va même jusqu’à choisir les noms, inspirés par la géographie locale, et dessiner les étiquettes de ses deux premiers nectars : Côte de Rio pour le vin rouge et Monte Giove pour le blanc. Son retour en France et la défaite de Waterloo ont eu raison de ce projet. Il n’en reste pas moins qu’en matière d’œnologie comme dans bien d’autres domaines, l’Aigle s’est montré visionnaire.
À LIRE AUSSI :
Aujourd’hui, encadré par les règles strictes des appellations d’origine (Denominazione di Origine Controllata et Denominazione di Origine Controllata e Garantita selon la nomenclature italienne), le vignoble insulaire brille plus que jamais par la qualité et la typicité de ses crus. Il faut dire que la vigne a trouvé sur l’île des conditions de culture idéales. Elle y profite notamment d’un ensoleillement remarquable et d’un sol drainant, acide et riche en minéraux (fer, silice, micas, quartz) qui favorise la concentration et le caractère original des arômes du raisin. Et puis, surtout, elle bénéficie grandement de la proximité de la mer. Celle-ci est en effet à l’origine des brises fraîches, légères et chargées d’un rien d’humidité qui, à l’aube comme au crépuscule, soufflent dans les rangs, protégeant ainsi les grappes des maladies et leur assurant un précieux répit lors des fortes chaleurs estivales. Le mûrissement des baies n’en est que plus régulier et l’équilibre entre le sucre, précurseur de l’alcool, et les arômes s’en ressent.
Une terre de blancs
La nature peut beaucoup, mais elle ne peut pas tout. Il lui faut le travail et le talent des hommes pour changer ses fruits en un bon vin. Or, les Elbois ne sont pas avares de leur peine et jouissent d’un savoir-faire singulier, forgé dès l’Antiquité comme l’atteste Pline l’Ancien qui, dans son Histoire Naturelle, qualifia celle que ses contemporains nommaient Ilva d'insula vini ferax, « une île abondante en vins ». Résultat : à partir des années soixante-dix, après un long déclin amorcé au début du XXe siècle, la viticulture locale a retrouvé tout son lustre et une petite vingtaine de domaines, forts d’un total de 350 hectares de vignes, régalent les insulaires et leurs hôtes d’une belle palette de saveurs.
Estampillés DOC Elba depuis 1967, les blancs font la part belle au trebbiano que les locaux appellent procanico. C’est l’ugni blanc des vignerons provençaux et charentais. Il est connu pour donner des vins vifs, mais simples. Les insulaires se sont donc ouverts depuis longtemps à d’autres variétés pour apporter plus de complexité à leurs cuvées traditionnelles par le jeu des assemblages. Deux d’entre elles, l’ansonica et le vermentino, sont même travaillées en vins monocépages, non sans réussite puisque, depuis quelques années déjà, ces derniers bénéficient eux aussi d’une appellation d’origine contrôlée.

Avec ses belles notes de fruits exotiques, le vermentino s'est imposé parmi les cépages référents du vignoble elbois. La DOC Elba vermentino en témoigne.
Un bijou couleur rubis
Si la cuisine locale, principalement tournée vers les produits de la mer, pousse fortement à la consommation de vins blancs, les rouges n’en sont pas pour autant délaissés. Ils pèsent pas loin de la moitié de la production insulaire. Pour l’essentiel, ils sont issus du sangiovese, le cépage toscan par excellence. Mais les Elbois ont su également préserver la culture ancestrale d’un autre cépage, aussi rare qu’atypique, celui-là même qui a charmé le palais napoléonien : l’aleatico. Des études ADN ont montré qu’il est un descendant du muscat blanc à petits grains. Une filiation qui se retrouve en bouche avec des arômes floraux et fruités tout à la fois suaves et intenses. Ceux-là s’expriment d’autant mieux que les Elbani tirent la quintessence de leurs raisins grâce à une méthode de vinification qui leur est chère : l’appassimento.

© Adobe Stock/Olga
Apparenté au passerillage qui fait la spécificité des vins de paille du Jura, l’appassimento repose sur deux exigences : une vendange à pleine maturité et un séchage naturel des baies pour concentrer encore davantage le sucre et les arômes ! Les raisins passent ainsi trois à quatre semaines à l’air libre, étalés sur des claies ou des filets soigneusement disposés pour que le baiser du soleil ne se change pas en morsure. Une fois pressés, les grains qui ont perdu jusqu’à 60 % de leurs poids, libèrent un jus épais que le vigneron, au terme d’un processus complexe et rigoureux, conclu parfois par un passage en barrique de un à deux ans, transforme en un vin doux naturel qui rivalisent allègrement avec les meilleurs portos ou madères. Titrant autour des 16°, plaisant à l’œil avec sa robe rubis, tirant parfois au violet, l’aleatico dell’Elba passito DOCG fleure bon les fruits rouges confiturés, la figue et les épices. Malgré la présence du sucre résiduel, il s’avère raffiné au palais, accompagnant ainsi de la plus belle des manières un fromage bleu, un chocolat noir, un clafoutis ou… un moment de paix et de partage.
Nesos, le vin
de Neptune
Plus qu'un vin, une véritable potion magique ! Il suffit d'ouvrir une bouteille de Nesos, un blanc produit dans le sud d’Elbe, pour voyager dans le temps. Grâce au concours d’Attilio Scienza, un œnologue milanais émérite, véritable historien de la vigne, la famille Arrighi, propriétaire du domaine éponyme, a en effet ressuscité le vin de Chios, le nectar absolu de l’Antiquité. Le secret de sa saveur sans pareille : un mélange d’eau de mer, de soleil et de terre cuite. Une recette respectée à la lettre par les vignerons elbois pour un résultat franchement spectaculaire.
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Portoferraio, la ville à l’esprit “village”
Portoferraio est une capitale. Elle fut même celle d'un empereur. Pour autant, avec ses ruelles pavées, ses escaliers étroits, ses jardins fleuris et ses façades fanées, cette ville a l'âme d'une villageoise. Une villageoise qui se fait pimpante et frivole quand viennent les beaux jours !

Passionnément elbanese
Il ne vous faudra pas plus de trois heures de voiture pour faire le tour complet d'Elbe. Mais cette boucle vous prendra des jours et des jours si vous profitez pleinement de ses sites et de ses activités les plus remarquables. Vos vacances seront-elles assez longues ? Rien n'est moins sûr.

Les joyaux
de Vénus
Selon un mythe du cru, c'est à la déesse de l'amour et de la beauté que l'on doit les sept îles de l'Archipel toscan. Comment s'étonner après ça qu'Elbe et ses sœurs soient si jolies ? Portrait de famille...

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Elbe, où,
quand, comment ?
C'est décidé ? Vous partez pour l'île d'Elbe ? Quelle bonne idée ! Nul besoin d'une boule de cristal pour deviner ce qui vous attend là-bas : le plus doux des séjours. Du moins, si vous ne partez pas à l'aventure ! Alors, comme tout bon capitaine, avant de lever l'ancre, tracez votre route, étudiez la météo et préparez au mieux votre voyage.

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